MeliMelo de Vies 3

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Une ambiance tendue

 

Il y avait trois jours que Kakashi était revenu de sa fugue, personne ne savait vraiment ou il était passé, moi je travaillais sans relâche avec Hinata sur les partitions de la compo, ce n’était pas une mince affaire et je ne m’étais pas rendu comte du temps que cela nous prendrait. Hinata commençait à râler un peu. Kiba et elle ne se voyaient plus beaucoup depuis trois jours. Il faut dire que je l’accaparais un peu pour oublier cette impression que Sasuke m’évitait de nouveau. Ca faisait deux nuits qu’il rentrait très, très tard et se couchait sans même me dire un mot juste quelques reflétions qui pour moi étaient sans grand intérêt mais qui me vexaient quand même, puis il s’endormait rapidement me tournant le dos. Je pensais qu’il devait avoir des soucis ou que ses cours de Taijutsu le fatiguaient. Je finissais par m’endormir aussi sans rien dire de plus. Naruto lui était devenu très étrange, lui qui avait pris une grande passion pour évoluer en Taijutsu en avait plus rien à faire, il arrivait de plus en plus tard aux cours et il avait même loupé le cours le jour du retour de Kakashi, j’avais été très surpris car j’étais venu moi-même le lui dire qu’il était rentré pensant qu’il serait aux anges, mais non il avait juste répondu. Qu’il était au courant et qu’il l’avait vu, avant de se retourner dans son lit pour dormir. Je trouvais vraiment Naruto étrange, il ne rigolait plus vraiment enfin si il rigolait mais j’avais tout le tems l’impression qu’il se forçait et qu’il camouflait quelques choses, même quand je lui disais de la fermer, lui qui n’écoutait rien là il se taisait d’un coup et partait faire autre chose, il y avait trop de choses bizarres chez le foufou de blondinet…  Je pensais à tous ça tout en trafiquant des notes qui n’allaient pas sur une partition, mon esprit n’était pas ce que je faisais et je ne fis même pas attention que Hinata me parlait

« Shika ! Oh Shika ! »

«  SHIIIKA ! »

Je finis enfin par réagir, Hinata me scrutait les yeux tout rond comme si j’étais devenu sourd ou pire fou de pas à l’entendre juste à coté de moi

« Eh bah Shika ! Tu planes sévère là… Moi j’ai besoin d’une pose, je prends le reste de la journée et de la soirée je veux voir mon chéri ok ? »

C’est vrai j’abusais il était plus que temps qu’elle s’amuse un peu

« Oui Hinata va si pas de souci, de toute façon moi aussi j’en ai plein le cerveau et je n’arrive plus à penser. Vas moi je vais ranger les partoches et aller faire un tour Bonne journée »

Hinata ne perdit pas de temps elle me remercia très vite et sortie en courant de la salle de musique, je la regardais faire en souriant, que c’était beau de pouvoir courir comme ça pour rejoindre celui ou celle que le cœur fait battre. Je restais encore un moment sur les partitions, mais mon esprit partait ailleurs je revoyais Hinata courir. Je fini par tout ranger et me décidais à aller voir si je trouvais Sasuke.

Ca faisait deux heures que je tournais dans tout les coins et recoins de l’académie, sans le trouver je fini par me faire à l’idée que je finirais ma fin de journée seul. Je mis les mains dans mes poches et me dirigeais vers le petit muret blanc pour regarder les nuages danser et le soleil faire sa révérence du soir. J’arrivais près de mon endroit quand j’entendis des voix.

« Viens par là toi… »

« Arrêtes si quelqu’un arrive… »

« Mais non viens ma chérie»

J’allais faire demi-tour quand le son de la voix m’interpela, à pas de loup je m’approchais

« Allez… Karine le soir sa te dérange pas et là j’ai vraiment, vraiment envie de toi tu peux pas savoir… viens mon amour… »

«Au moment ou j’attendais la réponse de la fille mon cœur se figea, c’était lui, lui qui caressait et embrassait cette fille aux cheveux rouge. Cette fille donc il disait que c’était une nulle et qu’elle ne ressemblait à rien. Non je ne voulais pas en voir plus je parti à toute vitesse pour m’enfermer dans la chambre au plus vite. Je retenais mes larmes au font de moi, je revoyais ses mains sur elle, je ne comprenais plus rien du tout. Je n’avais jamais ressenti une telle colère en moi, j’attendais qu’une chose c’était qu’il arrive et qu’il m’explique le pourquoi il me prenait pour un con, ce que j’avais bien plus lui faire pour qu’il soit comme ça avec moi. Je bouillais, je me rongeais les sangs, j’avais aussi peur… encore de la perdre. Mon cerveau partait dans tout les sens quand la porte s’ouvrit derrière moi. Je me retournais d’un coup presque prêt à lui arracher les yeux mais non c’était un blondinet qui venait de rentrer dans la chambre, il fut surpris de me voir là et moi, encore plus d’avoir vu le visage triste qu’il arborait quand personne ne le voyait.

« Salut Naruto ca vas? »

« Yo ! Salut Shika ! Ouais ca roule tranquille… Et toi tu fou quoi déjà dans la chambre à cette heure là ? »

« Oh bah tu vois je me pose un peu quoi… Les partoches me tuent le cerveau et Hinata était en manque d’amour »

Rien que ce mot me tiraillait la gorge, mais je restais calme gardant le contrôle de moi-même ne laissant rien paraitre. Naruto s’assit face à moi, je voyais bien qu’il essayait de trouver un sujet de conversation mais il semblait aussi peu emballé que moi à faire des discours. On était deux idiots à se regarder, fixe comme des statues de cire vidées de toutes sensations humaines. Je fini par prendre mon courage à deux mains pour briser la glace

« Eh Naruto tu en pense quoi de la compo ? Ca avance pas mal non ? »

« Ouais ! Tu parles tu assures trop grave avec Hinata vous faites un duo de choque pour ça, moi je suis une brelle le solfège ne m’aime pas et je le lui rends bien en plus »

Naruto rigolait mais une fois de plus ça sonnait faut, il n’y avait pas de quoi rire comme il le faisait pour si peu.  Je savais qu’il y avait un truc mais quoi qu’est ce qui pouvait mettre ce mec dans un tel état ? Je voulais l’aider essayer de faire quelque chose au moins, j’avais beau être mal je me sentais triste pour un mec qui devenait un ami avec le temps.

« Dis Naruto ? Je m’occupe p’être de si qui me regarde pas, mais je te trouve vraiment changer en ce moment… »

«  Moi changer ?... rire jaune… Quoi tu vas me dire que c’est bon tu me trouve plus con et saoulant ? … rire… »

« Mais non justement au contraire, Là je me demande si tu as un souci car tu n’es plus saoulant et con… sourire… et ça commence à me manquer le Naruto foufou qui dit que des conneries. »

Naruto essaya de camoufler la tension qui montait d’un coup en lui, je le vis se raidir et rire de plus en plus jaune en me répétant que je me faisais des idées. Mais il ne savait pas se cacher aussi bien que moi j’avais appris à le faire en 4 ans.

« Tu sais Naruto, si tu veux parler un peu et parler sérieux tu peux. Je suis là et crois moi je t’écouterais même si tu me dis dès trucs grave. »

Naruto n’en pouvait plus il était à bout de force et à deux doigts de craquer, il se retenait encore mais c’était la limite, je lui donnais le coup de grasse en douceur

« Tu peux me faire confiance, je suis pas un mec qui écoute pour ensuite enculer les gens et les laisser en plan dans la merde »

Voilà j’avais des yeux tout rond énorme de surprise j’vais toucher le point sensible plus que je le voulais, Naruto s’effondrait sous mes yeux, son visage se creusait, ses yeux se remplissaient de larmes, il baissait là tête comme un enfant fautif.

« En vrai je suis un con un gros connard, je crois que les gens sont bien mais ils sont faux, je crois que j’ai ami et je m’aperçois que je suis amoureux, je crois qu’il est malade et il baise avec son ex, j’ai peur et lui s’amuse, je suis un gros connard de merde qui n’a rien dans l’existence à par des malheureux et des conneries à dire sur les autres car ma vie est pathétique et vide à mourir. »

Naruto s’arrêta je venais de prendre tout en pleine face il avait dis ‘’il’’ j’avais bien entendu il parlait d’un mec, il venait de tout balancer d’un coup d’un seul et ne disais plus rien, là j’étais vraiment dans la merde je ne savais pas quoi répondre, je ne savais pas quoi lui dire. Je restais un moment silencieux devant lui juste à l’observer, il restait tête baissé sur ses genoux. Il se culpabilisait de tous et se mettait trop bas il ne méritait pas ça.

« Euh Naruto tu y vas fort je trouve tu es bien loin d’être un con si tout les gens avaient ton cœur ça serait bien, tu devrais pas penser ça de toi t’es un mec super … »

« Mouais tu parles ! Tellement super qu’on m’oublie sur la route pour voler dans les bras d’un ex absent depuis des mois, et que pour seul réponse j’ai, qu’il était trop percer de le rejoindre, non je suis rien du tout celui qu’on zappe c’est tout je sui un numéro perdu parmi tans d’autre. Un élève de Taijutsu comme tous les autres. »

Là c’était le déclique Naruto me parlait de Kakashi, il était dans cette état à cause d’un prof j’en revenais encore moins c’était un mec et un prof, je me souvenu de ce que Sasuke m’avait dis le soir ou il avait failli me foutre par terre, il avait tout comprit des sentiments de Naruto… j’avais du mal à voir comment mais vu qu’ils étaient dans la même équipe il avait du voir plus que moi. Merde pour une révélation c’était une révélation, et je savais de moins en moins quoi lui dire et comment l’aider.

« Naruto je vais encore poser une question je sais que c’est pas mon habitude mais là… tu veux bien ? »

« Bah tu viens de la poser non ? Non va si au point ou j’en suis demande se que tu veux. »

« Bah j’ai compris sans trop de mal que tu es amoureux d’un mec, et perso ça ne me gènes pas du tout, mais tu parle de Kakashi ou pas ? »

« Eh ouais t’as tout compris… Quand je te dis que je suis un con, en plus je tombe amoureux d’un mec qui à le double de moi et qui me vois comme un gamin. D’ailleurs il m’appel toujours comme ça. Tu parles faut que je sois con de chez con non ? Mais quel con de merde pour lui je suis un gamin qu’il aime bien avec qui il parle de tout de rien mais c’est tout et moi je suis un con fini. »

« Mais p’tin arrête Naruto de dire que tu es con merde. Tu n’as pas choisi déjà, et puis c’est pas la mort non plus. »

J’étais dans le pétrin je ne savais pas comment me sortir de la et comment lui filer de l’espoir, ce qu’il disait avait un sens Kakashi était prof et lui élève, le pauvre blond était pas dans la facilité.

« Mouais je suis pas un con je suis un gros con. Je passe mon temps à aimer des gens ou qui vont mourir, ou qu’ils me voient pas comme je les vois. Et puis lui il est plus con que moi avec son ex de merde, comment il peut retourner avec un mec qui se fou de lui, Kakashi mérite mieux bien mieux, mieux que cette merde de Obito mieux que moi mieux que tout. »

«  Naruto je ne sais pas quoi te dire, vraiment je suis désolé mais je ne sais pas. Je voudrais te donner un espoir mais je n’en vois pas à par lui dire ce que tu ressens p’être. Mais c’est un prof c’est délicat. »

« Tu crois que je n’y penses pas à tout lui dire ? J’y pense tout le temps, j’y pense même en dormant. Mais il va me claquer la porte au nez pour vivre son grand amour avec l’autre merde et en plus de souffrir je vais être humilié »

La discussion ne pouvait aboutir nul par c’était une voie sans issue, Naruto était perdu moi j’étais mal tout en arrivant à le cacher, on était tout les deux comme des cons, enfermé dans une chambre vide de sens, on se cherchait sans se trouver. Naruto me remercia plein de fois de l’avoir écouté, il avait dis à au moins une personne se qu’il avait sur le cœur et quelque part ça l’aidait un peu. J’étais soulagé pour lui d’avoir servis à quelque chose même si j’aurais voulu faire bien plus. On resta dans la chambre continuant de discuter encore et encore Naruto m’expliquait son premier amour, ça me brisa le cœur pour lui-même s’il restait fort par rapport à ça. Moi je regardais beaucoup l’heure qui défilait et lui qui ne rentrait pas puis sans le vouloir Naruto fini par s’endormir sur mon lit et moi sur celui de Sasuke.

 

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Le masque tombe

J’émergeais doucement du sommeil, j’avais encore la tête bien encré dans mon oreiller mon bras toujours en dessous pour qu’il ne se sauve pas, et malgré la petite nuit que j’avais fait je me sentais en pleine forme. Quand je m’étirais en me mettant sur le dos, une surprise de taille m’attendait.

Sasuke était là juste devant moi debout les bras en croix le regard inquisiteur.

« Hum ! Bonjour Sasuke ca vas ? »

Ca façon de me répondre me réveilla encore plus vite

« Quoi tu oses me demander si je vais bien ? Mais t’es con ou quoi je rentre je te trouve pagé avec Naruto et toi tu me demande si je vais bien ? Expliques toi p’tin ou je me casse dans la fouler… »

Je croyais rêver encore en le voyant comme ça comme un pique devant moi, là il abusait vraiment trop j’avais beau l’aimer comme un fou il ne fallait pas inverser les rôles quand même…

« Ah bah oui il faut que tu te casse vite retrouver la moche nulle que tu baise tous les jours, c’est bien ça Sasuke ? Tu comptes me prendre pour un con encore longtemps et me faire passer pour un imbécile par-dessus le marcher ? »

Le visage de Sasuke changea radicalement, il s’emblait à présent surpris que je lui tienne se discours

« Quoi mais de quoi tu parles et de qui en plus tu es fou ? »

« Non Sasuke je ne suis pas fou, mais je voudrais te poser une question après pars si tu veux c’est toi qui vois… Depuis un an je n’avais pas de nouvelles de toi pourquoi ? »

« Tu as bus Shika tu es bizarre tu poses des questions qui n’ont aucun sens. »

« Réponds Sasuke… »

« Euh bah !!! Mais j’étais comme ça avec tout le monde, mes parents mes amis et même des fois ma copine. J’avais trop de taf entre les cours à l’académie et la musique. C’était pas contre toi voilà. Ah toi maintenant c’est quoi cette histoire de fille moche ? »

« Ah tu ne vois vraiment pas de qui je te parle, et bien Karine celle que tu dis conne moche et j’en passe… »

« Ouais Bah quoi la nana qui est dans mon cours qu’est ce qu’elle vient foutre sur le tapis cette fille. »

Je rigolais jaune certes mais je rigolais quand même

« Sasuke tu as du mal à te souvenir avec qui tu couches tous les jours je crois… »

« Quoi ? C’est ce PD de Kiba qui t’as dis ça je suis sur, p’tin je t’ai dis que c’était un jaloux »

Pourquoi il me parlait de Kiba qu’est ce qu’il venait faire là lui aussi ? Je comprenais soudain que Kiba s’avait des choses que moi je ne savais pas et ça me foutais encore plus la rage.  Il fallait surtout que je reste calme même si l’envie de le frapper devenait dure à contenir ? Il fallait que je là joue fine pour en savoir plus mais comment ? Je ne voulais surtout pas mettre Kiba en porte à faut ni qu’il sache ma vie. Ce n’était pas simple mais je voulais savoir.il fallait que je face planer le doute je n’avais pas le choix.

« Oui Kiba bien sur qu’il vient me dire tes secrets les plus palpitants »

« Ah ! Le Batard ! Et toi tu le crois directement lui et moi tu me trompes directe tu es un enfoiré Shika. Je me sens trahis tu peux même pas savoir…. »

Merde ça ne marchait pas il retournait la situation à son avantage, ce n’est pas grave tout se sait toujours un jour ou l’autre

« Tu mens, tu triches, tu me crois con tu te fou de moi Sasuke, je te croyais ami, mais je n’étais qu’un pion dans tes jeux. Je t’ai cru aimant et la je ne sais même pas ce que j’ai pu être. Mais saches que je n’aime que toi et saches que Kiba ne m’a absolument rien dit, de toute façon j’aurais jamais cru qui que se soit l’amour est aveugle n’est ce pas ? Sauf quand on voit de ses yeux et je t’ai vu moi-même hier avec cette fille juste à coté du petit muret blanc. Ensuite tu es un vrai con de croire que je peu coucher avec Naruto juste pour te remplacer, on a discuté et on c’est endormi rien de plus ni de moins. Sasuke tu es mon cauchemar dégage de là »

« Non mais attends Shika ! c’est pas ce que tu crois, c’est pas ça du tout… Je t’assure que cette fille je m’en fou si tu veux je la plaque devant toi tout de suite ok … »

« Pars je te dis, Pars avant que je te frappe Sasuke je ne veux pas te voir fou le camp bordel !! »

Mon ton avait monté d’un coup j’étais vraiment limite et Sasuke avait du le sentir il fit demi-tour et sortie de la chambre en claquant la porte, une fois qu’il était dehors et que je me retrouvais seul, je me mis à repenser à tout ce qui venait de se passer, mes nerfs de le voir me mentir en face étaient redescendues et la déprime prenait sa place dans mon cœur trahi ma tête blésée, mon amour brisé, mon âme explosée… Je ne pus retenir mes larmes trop lourdes qui me brulaient trop les yeux, j’avais pourtant essayé mais non je m’écroulais sur le sol comme un pantin désarticulé qui avait perdu son marionnettiste.  Je pleurais je pleurais encore, je me foutais de tout plus rien ne comptais j’avais touché le bonheur du doigt et il c’était envolé, j’avais cru j’avais trop cru et j’étais maintenant foutu. Il n’y avait pas d’ami pas d’amour rien.

J’entendais des pas lourds se diriger vers la chambre il sortir de ma léthargie je réalisais que n’importe qui pouvait me voir dans cette état et me leva le plus vite possible. J’enfilais une serviette sur ma tête pour courir sous la douche avant de croiser quelqu’un. Une fois là bas personne ne pourrait rien voir je serais à labrit des regards. Je traversais le couloir en trombe et me déshabilla encore plus vite jetant mes vêtements n’importe où, j’entrais enfin dans la douche la vapeur des douches précédentes me camouflaient déjà un peu puis l’eau arriva enfin sur mon visage elle était brulante je sentais ma peau se raidir sous son effet .Là je pouvais enfin me lâcher sans crainte aucune . Il fallait que je vide tout une bonne fois pour toute pour ressortir tête haute avant d’affronter à nouveau son regard ensorceleur. L’eau coulait et coulait encore,  ma peau en était devenu rouge on aurait pu penser que j’étais resté trop longtemps au soleil. Mais non ça me soulageais et je ne sentais presque plus la chaleur, mon corps avait fini par si habituer je mis un dernier tour sur l’eau chaude, histoire pour faire le coup de grasse, quand ma tête commença à tourner dans tout les sens je fermais l’eau et sorti encore tout étourdis.  Je retournais dans la chambre un peu comme un robot sans pile et Naruto était là assit sur son lit, quand il me vit il me demanda directement comment j’allais sans me dire rien d’autre,  J’avais envie d’être seul de ne parler à personne de m’enfermer loin des bruits des voix extérieur mais il insista.

« Shika ca va ? »

« Pourquoi tu me demande d’un coup si ca va Naruto ? Pourquoi j’irais pas bien ? »

« Ouais bas en faite tu vois ce matin quand j’me suis réveillé Sasuke était là assit sur mon lit et il nous regardait bizarrement… Quand j’ai voulu m’excusé de mettre endormis dans ton lit et lui expliqué pourquoi on était comme ça il m’a envoyé baladé d’une force laisse tomber… J’ai eu un peu peur que toi aussi quoi… Ca m’aurais fais chier que tu te traite avec à cause de moi. »

«  Non non t’inquiètes pas Naruto tout va bien dans le meilleur des monde… »

Naruto se contentait de cette réponse toute faite, je finissais de me saper à toute vitesse pour rattraper mon cour de Taijutsu.

« Eh Naruto tu fous quoi encore là ? Faut que tu te bouges en Taijutsu même si ça fait mal tu avais fait des progrès et ça serait trop con de tout gâcher. Allez viens, je compte sur toi on va se motiver l’un l’autre ok ? »

Naruto me sorti un de ses plus beau sourire, il venait de comprendre que j’avais plus besoin de bouger d’être occuper que de faire des grands discours sans intérêt et qui ne mèneraient nulle part

« Yo ! T’as trop raison on va progresser on va se faire une super zik et mieux que tout on va s’éclater ok Shika ? »

« Voilà là c’est du Naruto dans toute sa grandeur… allez vient le fou on se trace rapide… »

On avait laisser nos bagages à soucis dans la chambres, on dévalait les  couloirs et autres escaliers à toute vitesse en rigolant Naruto recommençait à dire des conneries grosses comme lui et il me faisait rire ça me faisait du bien de rire un peu depuis que j’étais arrivé dans ce camp je n’avais pas vraiment eu de joie en y réfléchissant, j’avais passé mon temps à attendre l’autre qui n’arrivait jamais ou presque… Naruto parti vers son cours et moi le mieux.

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Retour de flamme

 

Kakashi arriva en même temps que Naruto tout les deux avaient une bonne heure de retard encore, Naruto expliqua qu’il s’était rendormi, Kakashi lui ne dit rien, il ne cherchait même pas à expliquer ses retards depuis qu’il était revenu. Son cour était devenu plutôt moue, il s’emblait toujours ailleurs. Naruto en avait marre il voulait écouter son pote Shika et retrouver la pêche au plus vite

« Yo !! Kakashi tu es en manque de vitamines prends de la juvamine bordel… On se fait chier là… »

Il venait de taper sur l’épaule de Kakashi comme un fou et lui affichait son sourire dévastateur, Kakashi venait de prendre une calque sans même que Naruto le sache. Il regardait se blond qui faisait son show comme au début devant ses camarades, Sasuke le tuait du regard tandis que Naruto n’y prenait aucune attention particulaire. Il n’y avait que Kakashi qui se traumatisait le cerveau de le voir ainsi en pleine forme, il s’imaginait des trucs comme un homme amoureux, mais voir son gamin avec toute cette joie de vivre lui donnait le sourire. Il comprenait enfin que Naruto n’avait pas été blessé de le savoir avec Obito que ça ne lui changeait pas sa vie. Kakashi avait enfin la preuve qui avait fait le bon choix du moins pour Naruto. Le prof était d’un coté soulager et de l’autre anéantie, sa seul consolation était que jusqu'à la fin de ce séjour il verrait Naruto le plus souvent possible pour s’imprégner de toutes les images de son visage de sa voix de ses rires de tout ce qui faisait Naruto. Kakashi était bien décider à en profiter avant que tout ceci s’arrête.

« Yo ! Naruto ! Ramène-moi ta bouille de malade par là ! On va reprendre les exercices à deux… »

Naruto se glaça une seconde puis approcha de Kakashi affichant toujours un large sourire un peu débile. Sasuke, attrapa Karin par la taille et la tira vers lui en lui disant qu’elle n’avait plus le choix d’être avec lui… Les duos étaient formés une fois de plus. Kakashi fit voir les quelques prises qu’il voulait que tout le monde bosse, se qui se fit dans des éclats de rire, des petits cris de douleurs et quelque insultes pour ceux qui se faisaient mal. Naruto avait pris ce cours très au sérieux il était survolté tellement survolté que Kakashi avait parfois du mal à parer tous les coups que Naruto lui envoyait, le gamin s’emblait enragé… De le voir se défouler comme ça sur Kakashi certains élèves se stoppaient pour regarder le spectacle qu’il leurs offrait. Ils devaient tous penser que Naruto avait fait des progrès certes il en avait fait mais c’était bien la rage la colère presque de la haine qui le faisait se rouer sur Kakashi de plus en plus fort. Quand Naruto sentait juste une main de Kakashi sur lui une pulsion électrique le rendait encore plus agressif il se refusait de plus en plus à se laisser toucher se défendant comme un diable face à une mort atroce. Kakashi voyait toute la violence dans ses yeux il voyait cette haine de tuer, Kakashi ne reconnaissait presque pas son tendre Naruto toujours évitant de limite les coups puissant et sans retenu que Naruto lançait. Le cour était presque fini et Naruto continuait de frapper et frapper encore il était à bout de souffle, il n’y avait plus que sa rage qui le faisait continuer même Sasuke qui avait mit un moment avant de le regarder faire était fixer sur lui, une certaine peur dans les yeux. Naruto Fini par toucher Kakashi qui ne put éviter un coup fatale en plein sternum Kakashi eut le souffle couper sur l’impacte et se retourva plié en deux se tenant le ventre, il fixait Naruto le questionnant du regard essayant de comprendre pourquoi toute cette violence avait éclater d’un coup comme ça, Naruto le regarda de toute sa hauteur un sourire presque sadique s’affichait sur lui, le ton de sa voix était cruelle. Il s’approchait doucement du visage de Kakashi et lui murmura juste avant de tourner les talons.

« Tu vas pouvoir te faire dorloter tes bleus par ton truc à qui tu sers de bouche trou… »

Kakashi avait le regard horrifier ce n’était pas Naruto qui venait de lui dire ça dans l’oreille ce n’était pas Naruto qui l’avait agressé comme ça… il n’arriva même pas à lui répondre il était reste paralysé dans cette position tordue et regardait Naruto s’éloigner d’un pas sure et froid.

On était tous au réfectoire, Sasuke s’affichait comme un paon avec sa copine bras dessus bras dessous, cet enfoiré ne se privait pas de l’embrasser dès qu’il me voyait assez proche pour les voir faire, je restais le plus possible impassible et Naruto je ne sais pas trop comment débarquait toujours au bon moment pour me faire une connerie, la musique avançait bien… Hinata et moi avions fini toutes les partitions les lignes de chants étaient placés, ils nous faillaient maintenant faire répètes sur répètes pour être près le soir de la grande veillée. Kiba arrivait vers moi tout fière de lui.

« Shika regarde ça… »

Il me tendait une feuille avec des paroles de chanson. Je la lu attentivement. C’était des paroles d’amour d’espoirs, de trahison tout y était, je n’avais pas du tout imaginé ce style de paroles pour la musique mais il avait réussi à sortir des paroles vraiment géniales. La différence de dialogues de chants entre la chanteuse et le rappeur sonnaient à merveille. Ce n’était plus de simples paroles mais un vrai dialogue qu’ils allaient s’échanger entre les deux voix. Kiba avait trouvé la juste valeur de la musique tout le ressentie qu’elle pouvait procurer. Il avait du talent dans l’écriture c’était chose claire. Je relevais la tête vers lui un sourire satisfait.

« Eh ouais tu m’as tellement piqué ma copine ces derniers jours que j’ai eu tout mon temps pour écrire… sourire… »

« C’est trop bon Kiba tu as assuré comme une bête. C’est vrai que j’ai abusé de ta Hinata excuses moi !  Et puis avec tout le temps qu’on a passé sur les partoches j’avais zappé les paroles… tu as vraiment grave assuré, on a tout maintenant… »

Tout le monde monta sur scène chacun sa partition Hinata et Choji avait leur paroles pour sans imprégner durant la répétition, tous les styles se confondaient que se soit le chant les instruments tout, il y avait un mélange parfait entre métal rock rap et même électro c’était super je m’éclatais sans retenu sur ma basse regardant les autres en faire autant on était presque tous en osmose comme si ce groupe existait depuis des années. On se suivait sans problème. Jiraya était devenu un amoureux inconditionnelle de cette musique ainsi que des paroles ou tout le monde pouvait se retrouver dedans, il nous donnait des conseils que l’on suivait à la lettre, quand on arrivait du repas de midi il avait déjà tout mit en place. Sasuke était de plus en plus noir et fermé, Karin sortait maintenant avec un autre mec du groupe de Gai, elle l’avait jeté devant tout le monde sans que personne ne comprenne pourquoi. Naruto et moi faisions une paire assez sympa on passait presque toutes nos journées ensemble quand Sasuke ou Kakashi nous croisait, un nous regardait avec des fusils à la place des yeux et l’autre baissait la tête pour ne pas voir. Naruto et moi étions assez peu fier de ça c’était leurs tours d’avoir mal nous on avait décidé de s’amuser quoi qu’il se passe.  J’avais encore des haut et beaucoup de bas, surtout le soir quand je sentais Sasuke toujours si proche de moi et en même temps tellement loin, je le regardais encore dormir sans qu’il me voit et j’avais beau ne pas vouloir ,je ne pouvais m’empêché de rêver qu’un jour ou l’autre il me reviendrait. Naruto lui faisait encore quelques cours privées avec Kakashi. Quand celui-ci  lui disait qu’il serait occuper et qu’il ne pouvait être là  car il devait partir en ville, Naruto avait à chaque fois le cœur qui se brisait sachant très bien qui il allait rejoindre et pourquoi. Ca mettait Naruto dans une colère pour toute la journée mais au final on arrivait quand même à surmonter tout ça.

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La mente religieuse

«  Aie…. »

Hinata venait de s’écrouler sur l’herbe se tenant la cheville dans les mains

« Oh Hinata qu’est ce qui se passe ? »

La pauvre souffrait atrocement, elle avait mal réceptionné un coup de pieds retourner et avait sentie un craquement dans sa cheville qui lui souleva le cœur, elle était au sol blanche comme un linge, la douleur était tellement forte qu’elle tomba dans les pommes… Kiba la porta dans ses bras et l’emmena aussitôt à l’infirmerie, l’infirmière l’auscula très vite et décida qu’il était plus prudent qu’elle parte à l’hôpital. Tsunade avait été prévenu dans la foulé et se tenait déjà prête à partir le moteur de la voiture tournait. Kiba descendis sa chérie et la déposa doucement à l’arrière lui faisant un bisou impuissant devant sa douleur.

« Tu vas avoir un beau plâtre et je te signerais un autographe qui un jour vaudra des millions…sourire… »

« Faut toujours que tu te vantes toi ? Je t’aime Kiba à toute à l’heure. »

« Je t’aime mon amour bon courage je pense fort à toi »

Tous les mots d’amour étaient lancés Tsunade montait les yeux au ciel, se demandant quand ils s’arrêteraient. Elle fini par se retourner en regardant Kiba

« Si tu veux que je te la ramène laisses nous au moins partir Kiba… T’inquiètes pas je vais pas te la perdre en route. »

Kiba regardait Tsunade le cœur gros mais lui sourit quand même tout en plaisantant

« Si vous la perdez vous serez obligée de me faire tous les massages qu’elle me fait ou je ne pourrais plus jouer avec sérénité » 

« Ouais, Ouais c’est ça…Elle est trop gentille avec toi surtout. Allez sors de là »

Après un dernier petit bisou Kiba ferma la porte de la voiture et la regarda partir, il restait là se demandant encore comment tout ça avait pu arriver, puis il fini par nous rejoindre en salle de musique.

« Hinata est parti à l’hosto, elle doit avoir les cheville pété. »

« Oh merde » Plusieurs personne ensemble

« J’espère ça va aller pour elle. » Shika

« Ca va que c’est pas le poigné. » Sasuke

« Elle revient quand ? » Choji

Le sujet de discussion fut Hinata pendant plus d’une heure Naruto était pas là personne ne s’avait ou il était allé. La journée de répète était foutu mais personne avait vraiment le cœur à jouer Kiba parti s’isolé un moment Sasuke sorti aussi, Choji se cherchait des chips et au final je me retrouvais tout seul. Je fini par moi aussi aller faire un tour...

Tsunade revient très tard, Kiba l’attendait de pied ferme quand il vit que Hinata n’était pas dans la voiture.

« Bah elle est ou ? »

Tsunade lui expliqua le souci très calmement pour ne pas le paniquer

« Ne te prends pas là tête Kiba, elle a une mauvaise fracture, ils doivent replacer son os avant de la plâtrer, et le chirurgien doit l’endormir donc il faut qu’elle soit again. Il la garde trois jours au maximum et je vais te la chercher. »

C’était le tour de Kiba d’être tout blanc, il se s’entait responsable de l’accident et ne s’avait pas trop se qu’il devait faire

« Kiba ce n’est rien de très grave, une fois que l’os sera en place, ils vont la plâtrer en plus elle sera endormi donc ne sentira rien et là, ils l’ont mise sous calmants pour qu’elle n’est pas mal. C’est un bonne hôpital à kumo t’inquiètes pas »

Kiba remercia Tsunade de toutes ses explications et parti marché sous la lune… Karin était pas très loin de là, elle avait tout entendu et souriait déjà de la mauvaise fortune de Hinata. Elle partie en trombe cherche une bouteille de vodka et de l’orange avant de courir retrouver Kiba qui c’était assis près du lac.

« Salut Kiba tu n’as pas l’aire bien… ? »

Kiba soupirait regardant le ciel étoilé,

« Salut ! Ouais c’est pas la pêche quoi ! Tu Fais quoi ici toute seule ? »

« J’ai pas trop le moral alors je comptais boire un verre pour oublier et regarder les étoiles, mais je pensais être seule à venir ici la nuit. »

« Ah ouais je vois ! Bah je vais te laisser alors »

« Non, Non reste au contraire, je ne dis pas que je veux être seule et puis on va passer notre monotonie ensemble c’est toujours mieux que tout seul. »

Kiba ne voyait pas la mente religieuse qui s’approchait de lui, déjà prête à prendre son petit déjeuné.

« Ouais c’est pas faut Karin, Tu me sers un peu de ton breuvage »

« Il va falloir qu’on se partage nos pensées je n’ai qu’un verre… petit sourire… »

« Oh pas de souci mes pensées ne te ferons pas grand mal. »

Karin servis aussitôt une grande dose de vodka avec très peu d’orange. Kiba fit une grimasse terrible dès la première gorgée, Karin riait de le voir faire lui disant que c’était une petite nature, ils continuèrent à boire et Kiba avait de plus en plus les yeux brumeux ne sachant plus trop ou il était, Karin en profitait de plus belle lui réservant encore un verre bien corsé, puis un autre. Kiba cette fois était soul comme un boudin, mais gardait un peu de sa tête. Karin voulu se rapprocher de lui elle passa sa main sur sa joue en approchant ses lèvres de celle de Kiba, mais il réagit vite lui demandant se qu’il lui prenait, Karin s’excusa aussitôt prétextant que c’était l’alcool. Il rigola en lui disant que les filles ne devraient jamais boire car elles perdent la tête, elle rigolait aussi même si elle savait très bien que ce n’était pas les deux trois petites gorgés qu’elle avait bu qui pouvaient lui faire du mal. Elle fini par sortir une bouteille de popers de son sac. Kiba la regarda sniffer avec grande attention.

« Eh bien Karin moi qui te pensais sage tu m’as l’aire plutôt fêtarde. »

« Eh bah quoi on a qu’une vie non ? Et puis ce n’ai pas si grave c’est pas de la drogue dure non plus. »

Kiba rigolait encore, l’alcool le chauffait sévère et Karine ne se privait pas de le resservir dès qu’elle le pouvait.

« Tu en veux un peu Kiba ou tu as peur du grand méchant loup ? »

« Moi peur mais t’es folle ou quoi allez envois la bouteille. »

Kiba sniffa très fort trop fort, Karin vu de suite qu’il ne connaissait pas du tout le popers et sourit de plus belle, Kiba en 10 seconde avait les yeux tout brillant, il souriait bêtement et rigolait de rien tout en ingurgitant en de la vodka, il tanguait tout en restant assit et cela l’amusait assez.

« Waouh ! C’est trop génial j’entends des oins-oins dans ma tête comme si un avion faisait des loopings… C’est trop drôle. »

Oui le popers m’était dans un état euphorique et jouais sur les sens mais aussi sur la libido et donnait des envies de laisser allez comme si rien n’était important Karin avait manœuvré comme une mente religieuse emmenant Kiba pile ou elle le voulait. Elle lui offrait encore du popers mais calmait un peu l’alcool qu’il ne s’effondre pas. Une fois sur que Kiba était bien de chez bien chaud elle se rapprocha de nouveau pour l’embrasser, Kiba ne réagissait plus il se laissa faire sans broncher, Karin prit vite les choses en mains elle se frottait à lui langoureusement le mordillant dans le coup lui suçant la peau, commençant à lui faire des marques plus ou moins violacées dans le cou. Karin ne connaissait que trop bien l’effet que tout se mélange allait faire à Kiba qui bandait déjà dure comme du bois, elle continuait de lui faire renifler sa merde de plus en plus intensément tout en lui retirant ses vêtements Kiba de son coté devenait bestiale ,il la plaqua sur le sol disant des mots crues, que jamais il n’aurait dit à une fille en lui faisant l’amour. Mais là tous les complexes de l’âge s’envolaient un peu plus à chaque sniffette qu’il reprenait. Il était tombé dans son piège les deux pieds dedans. Karin qui elle restait plus lucide le provoquait encore et encore, tout en jouant avec le sexe de Kiba

« Tu en as envie… Un tu as envie de me la mettre ? Viens, viens, viens me faire voir de quoi tu es capable… »

Kiba la plaqua de nouveau ses yeux étaient exorbité, il l’embrassa à pleine bouche tout en lui déchirant son tee-shirt et sous soutien gorge par la même occasion. Karin adorait ça elle extasia devant une tel force tu en remontant son genoux sur les couilles de Kiba, il la caressait sans ménagement passant ses mains partout sans honte, ses doigts la pénétraient encore et encore, tendis que son autre main cramponnait un de ses siens qu’il suçait de plus en plus. Karin lui rendait la brutalité en le griffant sur les bras, le mordillant encore dans le cou et lui donnant toujours plus de porpers qui le déchainait d’avantage. Kiba fini par rentrer ses doigts partout en elle, elle s’offrait que plus le sentant la pénétrer en force, Kiba avait perdu toute notion de mal ou de bien il ne pensait plus cas la baiser sans attendre. Il fini par la retourner violement, il colla son sexe trop dure directement dans le sien lui donnant des coups de bassin qui la balançait en force il lui attrapait les cheveux pour la maintenir coller à lui, et de son autre main tenait encore cette bouteille que maintenant il montait à ses narines de lui-même… Karine lui en demandait encore lui disant d’allez toujours plus fort, Kiba l’insultait de plus belle à chaque pénétrations. Il fini par ressortir du sexe de cette affamée, et sans ménagement il la prit par derrière Karin fit un cri de douleur avant de passer sa main en arrière pour attraper la cuisse de Kiba et le tirer vers son cul pour qu’il rentre plus. Il continuait ses balancements de plus en plus rapide, mais il ne sentait aucune éjaculations arriver, Karin fini par se mettre sur le dos ses genoux la brulait à force de frotter sur l’herbe par les coups de bassin de Kiba. Lui sans attendre qu’elle s’installe rentrait en elle directement la prenant un coup devant un coup derrière la faisant écarter ses jambes le plus possible il finit par mettre ses doigts devant pendant qu’il la prenait derrière Karin continuait de gémir de plus belle, tout en le lacérant de griffures sur le torse le dos faisant des marques profondes, elle s’avait pertinemment que les marques seraient visible plusieurs jours et que les suçons dont elle l’avait gratifier resteraient encore plus longtemps. La baise bestiale dura plus de deux heures avant que Kiba encore sous les effets des mélanges finit par arriver à jouir puis  tomba sur le sol inerte. Karin avait mal partout mais c’était se qui l’excitait, elle avait fait se qu’elle aimait et son plan avait que trop bien marché. Elle s’approcha de lui le griffant une dernière fois et lui murmura des choses qui n’entendaient même plus

« Un dernier petit souvenir pour ta petite Hinata, tu va t’en sortir comment Kiba ? »

Tout en lui léchant la joue elle fini

« Tu baises bien mieux que Sasuke et tout le autres glands de cette académie c’est dommage… Bye-bye »

Karin ramassa ses vêtements plus ou moins en lambeaux la bouteille et toutes ce qui lui appartenait avant de partir laissant Kiba nue profondément endormi sur l’herbe.

Tsunade et Anko faisaient leur jogging matinal autour du lac, Anko se stoppa d’un coup sans dire un mot, Tsunade la regarda sans comprendre…

« T’es déjà crevé Anko ? »

Tsunade remarqua que Anko était fixer sur quelque chose elle tourna la tête et vit le corps de Kiba étalé sur l’herbe. Elle s’approcha de lui voyant qu’il était recouvert de griffures qui par endroit avaient saignée laissant  des traces séchées, Anko ne bougeait plus. Tsunade prit le tee-shirt de Kiba et lui posa sur lui avant d’essayer de le réveiller, Kiba n’entendait rien du tout toujours profondément endormit, elle fini par dire à Anko de lui donner la bouteille d’eau froide qu’elle emmenait pour boire pendant les exercices. Ni une ni deux elle versa le contenue sur la tête de Kiba qui sursauta complètement dans le brouillard ne comprenant rien de ce qui se passait.

« Tu émerges Baka ! »

Tsunade était folle de rage de le voir ainsi les marques de griffure sa nudité ainsi que les suçons qui lui couvrait le corps, il n’y avait pas besoin d’explications pour que Tsunade comprenne que la nuit avait été chaude bouillante.

« Tsu...Tsu...Tsunade…. Mais qu’est ce que je fais là ? »

Kiba avait l’aire sincèrement perdu, Tsunade qui venait de le traiter d’idiot avait soudainement un doute sur la situation.

« Mais Kiba comment t’as fait pour finir à poil et dans cette état sans rentrer dans ta chambre bordel ? »

«  Quoi ? Quoi ? »

 Kiba soudain réalisa qu’il était complètement  à poil devant ses deux femmes, il commença par rougir puis une forte douleur lui fit passer ses mains sur son sexe, il avait le bite en feu se demandant encore ce qu’il faisait là et pourquoi son sexe le brulait comme ça… Il regardait ses deux femmes se demandant si c’étaient elles qui lui avait fait des trucs bizarres.

« Il c’est passé quoi ici Kiba ? »

Kiba tentait tans bien que mal de comprendre et vu la tête de Tsunade il voyait bien qu’elle se posait tout autant de questions.

« Bon allez ! Habits toi vite fait on va allez soigner tout ça dans ma chambre si on va à l’infirmerie, l’infirmière sera obliger de faire un rapport… mais Kiba tu vas tout m’expliquer et pas de baratin avec moi je te préviens…  Anko toi tu vas prévenir que je risque d’être en retard mieux prends mon groupe en charge pour se matin, tu ne dis rien à personne je ne sais pas ce que ce gosse à bien pu faire ou ce qu’on lui à fait. J’ai pas envie de problèmes et les élèves ne doivent rien savoir OK ? »

Anko restait horrifier par le spectacle que Kiba offrait entre son corps qui s’emblait avoir été torturé, sa tête qui était plus que livide sans parler de son regard qui ne comprenait rien et qui s’emblait implorer des réponses, Anko se sentait vraiment mal. Elle fit un oui de la tête à Tsunade et parti aussitôt prendre les choses en mains. Kiba avait la tête qui lui tournait, il avait la nausée, ses jambes le faisaient souffrir, il regardait les marques sur son torse sans comprendre le pourquoi du comment, dans son crane un bataillon de soldats jouaient du tambour sur ses neurones… Et sa bite le brulait atrocement. Il ne savait pas ce qu’il lui arrivait comme si il sortait tout droit d’un film d’épouvante. Il fini par arriver à enfiler ses vêtements Tsunade le regardait voyant bien un gosse complètement à coté de ses pompes, elle s’inquiétait de savoir ce qu’il avait bien pu se passer ici. Elle revoyait le petit Kiba regardant sa copine partir en voiture l’aire tout triste la veille tandis que la elle voyait le même gosse à la limite de l’agonie.

« Tu es près Kiba si on traine de trop tes camarades vont arriver. Suis-moi… »

Kiba avançait avec du mal à coté d’elle ses jambes avaient du mal à le supporter Tsunade fini par le maintenir pour aller plus vite. Une fois dans sa chambre elle pausa Kiba sur son lit.

« Bon Kiba je vais devoir venir avec toi sous la douche vu ton état tu ne pourras pas y rester seul j’ai pas envie que tu t’évanouis, sois rassuré je vais mettre mon maillot et toi tu vas me garder ton caleçon. Mais il faut que tu prennes une bonne douche avant que je désinfecte tout ça et en plus ça va te remettre les idées en place. On va faire étape par étape là. »

Kiba n’avait aucune réaction il se laissa aider par Tsunade sans rechigner une seul fois, c’elle ci avait enfilé un maillot et Kiba essayait de retirer ses vêtements, elle fini par l’aider même pour ça. Une fois sous la douche Kiba reprenait doucement des couleurs plus humaines Tsunade faisait intentionnellement couler l’eau froide sur lui, il fallait réveiller ce gosse le mieux possible. Une fois de retour dans la chambre Kiba allait un peu mieux des brèves de souvenirs commençait à refaire surface, mais c’était encore très flou. Tsunade regardait ce corps de jeune gosse tout frêle la musculature pas encore développé totalement, ce visage de petit ange presque premier de la classe. Elle ne comprenait rien du tout comment des gosses de cette âge arrivaient à se foutre dans des états pareil… Elle lui tendit un café avec des pains au lait qu’elle avait soigneusement fourré de Nutella. Kiba mangeait sans demander son reste la faim lui tiraillait les tripes, Tsunade avait su faire tout se qu’il fallait pour le remettre sur pieds sans qu’il n’eut besoin de dire un mot. Ca faisait déjà 2 bonnes heures que Tsunade était aux petits soins pour Kiba et le légume livide avait presque laissé la place au gosse qu’elle avait vu la veille. Kiba n’avait encore rien expliqué il ne faisait que dire merci et être très gêné.

« Bon Kiba il est temps de me dire ce qu’il c’est passé près du lac hier soir. »

« Oh Tsunade-sama ! Je n’ai que des flash terrible dans la tête »

« Bah !! Explique moi ce que tu te souviens déjà on va faire le tri doucement. »

« D’accord Tsunade… Après vous avoir parlé je suis allez m’assoir près du lac, je regardais tranquille les étoiles quand Karin est arrivée… Elle avait de la vodka et j’en ai bus beaucoup trop… Mais j’ai déjà beaucoup trop bus avant jamais je n’ai été au point de plus me rappeler de rien… et encore moins de me retrouver comme ça…  Putain Tsunade qu’est ce que je vais dire à Hinata demain»

Le pauvre gosse avait mal partout et il se demandait déjà comment sa copine allait réagir, Tsunade voyait trop de panique dans son regard, il implorait une aide qu’elle était bien décidé à lui donner.

« Ne pense pas à Hinata tout de suite Kiba reste focalisé sur hier soir… Tu étais avec Karine vous buviez et après… »

« J’étais bien déchiré et Karine m’a fait sniffer un truc dans une petite bouteille, ça puait un truc de fou mais sur le coup je suis parti en crise de rire, avec mon odora je pourrais presque encore le sentir. »

Tsunade commençait doucement à voir la scène, mais elle avait du mal à imaginer Karine lui faire toutes ces traces, c’était une fille calme qu’on n’entendait jamais et qui faisait sa petite vie tranquille.

Kiba commençait à avoir des visions sur les actes passé dans la nuit, il fermait les yeux et pensait que son imagination lui jouait des tours, Tsunade lui dit aussitôt de tout lui dire même si ce n’était pas jolie, jolie à entendre.

« Mais Tsunade-sama j’ai pas pu faire se que ma tête me dit c’est pas possible ?? »

 Il expliquait la violence des actes, les insultes, Karine qui en redemandait toujours plus. Il ne rentra pas plus dans les détailles Tsunade en avait pas besoin, elle comprit très vite que Karine était bien derrière tout ça, Tsunade avait bien roulé sa bosse et connaissait les effets des petites bouteilles noir quand on en abusait, cette petite garce avait démolit son pote juste pour se faire mettre. Tsunade n’en revenait pas une gamine d’à peine 18 ans.

« Bon Kiba tu vas te mettre dans mon lit et dormir un peu, tu auras encore plus les idées claires après moi il faut que je vérifier quelque chose. Je viendrais te réveiller dans deux petites heures surtout tu dors, ne te prends pas la tête pour Hinata j’ai un plan. Non panique… »

Tsunade lui fit un clin d’œil tout en l’aidant à se faufiler sous les draps Kiba ne demanda pas son reste il se sentait complètement lessivé. Tsunade le regardait deux minutes il avait les yeux fermé son visage portait encore l’angoisse. Elle soupirait de colère de voir des trucs comme ça, elle ne comprenait rien de ce qui se passait dans la tête de ces gosses pour en arriver là.

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